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The Patient Ox (aka Hénock Gugsa)

G r e e t i n g s !

** TPO **
A personal blog with diverse topicality and multiple interests!


On the menu ... politics, music, poetry, and other good stuff.
There is humor, but there is blunt seriousness here as well!


Parfois, on parle français ici aussi. Je suis un francophile .... Bienvenue à tous!

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Saturday, May 21, 2022

An Incident with a Turkish Cat!

 

pampered turkish cats

An Incident with a Turkish Cat! 

Un incident en Turquie !

💝  💝  💝 

     In Istanbul, where cats rule, they come and go wherever they wish.That includes the heart of a symphony orchestra stage, with special preference for the string section. -------------------------------------------------------------------------------------------------
     À Istanbul, où les chats sont rois, ils vont et viennent où cela leur chante. Y compris, au coeur d’un orchestre symphonique, avec une petite préférence pour la section des violoncelles.‬


  

Monday, March 7, 2022

La colère d'une ukrainienne ~ par Agnès Gruda

 

Marina Stepanska de Ukraine
 

La colère d'une ukrainienne ~ par Agnès Gruda *

     La colère d’une cinéaste ukrainienne
     « Ce n’est pas Poutine, c’est vous ! »
Quand ses amis russes l’ont inondée de messages pleins de sollicitude, lui demandant comment elle allait et l’encourageant à tenir bon, la cinéaste ukrainienne Marina Stepanska ne les a pas remerciés.  Elle les a plutôt envoyé paître.
Elle ne ressentait aucune gratitude. Que de la colère.
Elle a exprimé cette colère dans une lettre adressée à ses « ex-amis russes » publiée sur Facebook au sixième jour de la guerre, mardi. Une lettre parsemée de jurons bien sentis, de fierté et de fureur.
Elle y raconte sa fuite de Kyiv, la capitale, vers Lviv, la ville située tout près de la frontière de la Pologne, au premier jour de l’offensive. Une distance de 540 km qu’elle a parcourue en 20 heures avec son mari et leurs deux jeunes enfants.
Elle y affiche sa confiance en l’avenir, quoi qu’il arrive. « Vous voyez, mes chers ex-amis russes, même si je meurs demain, ce qui n’est pas si improbable dans les circonstances actuelles, je vais être OK. Parce que je sais que les miens survivront et reconstruiront tout ce que vous avez bousillé, parce qu’ils le font déjà, parce qu’il n’y a pas de peur, parce qu’il y a du respect, parce que nous sommes tous l’Ukraine », affirme-t-elle avec force.
Puis elle invite ses « ex-amis russes » à ne pas se déresponsabiliser en attribuant la faute de la tragédie actuelle à leur président.
Ce n’est pas Poutine, c’est vous, chacun de vous qui ne s’est pas levé pour combattre la moisissure qui vous a lavé le cerveau à vous et à la majorité de vos compatriotes !
Son coup de gueule a provoqué une petite commotion sur Facebook, suscitant plus de 14 000 marques d’appréciation.
Documenter la guerre ....
Quand La Presse l’a jointe à Lviv, jeudi, la cinéaste de 39 ans avait laissé ses deux enfants de 2 et 4 ans chez des proches et organisait son retour à Kyiv, où elle veut documenter la guerre, avec son mari, également cinéaste. Les deux cherchaient de l’équipement de protection, comme des gilets pare-balles et des casques, avant de reprendre la route de la capitale.
Nous n’avons pas parlé de la douleur de laisser ses enfants derrière elle, tellement elle est évidente. Ni de la peur devant ce qui l’attendait. Mais plutôt des liens entre Russes et Ukrainiens, ces deux peuples frères aux cultures entremêlées, plongés de force dans une guerre fratricide.
Marina Stepanska est diplômée de l’Institut national de cinéma ukrainien. Elle a notamment réalisé le film Falling, qui a gagné le prix du public au festival Premiers Plans d’Angers, en 2018.
Ce film de fiction s’intéresse à la période qui a suivi le soulèvement populaire de 2013-2014, ce qu’on a appelé la révolution de l’« Euromaïdan ».
Les protestataires de l’époque avaient réussi à faire tomber le président prorusse Viktor Ianoukovitch, suscitant une réaction musclée de la part de Vladimir Poutine, qui a annexé la Crimée et fomenté un mouvement séparatiste dans le Donbass, dans l’est de l’Ukraine, où une guerre larvée soutenue par Moscou a perduré depuis.
Huit ans plus tard, le président russe vient de jouer le tout pour le tout : il a déclenché une offensive tous azimuts contre l’Ukraine.
Émancipation du cinéma ukrainien
Marina Stepanska raconte comment, au début des années 2000, l’Ukraine était devenue un lieu de tournage de prédilection pour les productions russes. Elle-même a travaillé sur plusieurs films et a multiplié ses amitiés dans le réseau du cinéma russe.
Ce sont ces amis qui lui ont envoyé des textos pleins d’empathie après le déclenchement de l’offensive russe, le 24 février.
« Ce sont des amis proches, mais on dirait qu’ils vivent sur une autre planète », confie-t-elle.
Déjà, en 2014, elle a pris conscience du fossé qui sépare Russes et Ukrainiens. « Certains me disaient : “Mais pourquoi vous ne donnez pas le Donbass à Poutine ?” Je leur répondais : “Mais voyons donc, c’est mon pays. Et puis, Poutine ne s’arrêtera pas au Donbass.” »
Ses amis russes ne la croyaient pas.
L’histoire lui a malheureusement donné raison.
Marina Stepanska raconte comment les relations professionnelles russo-ukrainiennes ont évolué au fil des ans. Au début des années 2000, l’Ukraine était une sorte de « colonie russe » pour l’industrie du cinéma.
Puis l’État ukrainien a investi massivement dans son industrie cinématographique. Et les films ukrainiens, dont ceux de Marina Stepanska, se sont fait remarquer dans les festivals internationaux. Il y a eu des films ukrainiens à Cannes, à Venise.
Quand Marina Stepanska et ses amis russes se retrouvaient pour prendre un café à Paris, c’était dans un tout autre contexte. D’égal à égal.
Distances
Ces dernières années, la cinéaste s’est un peu éloignée de ses amis russes. « J’ai réalisé que nous n’avions pas la même mentalité, que nous ne partagions pas le même récit », analyse-t-elle. Ils ont ce dieu tout-puissant et n’essaient jamais de le combattre. Ils ont une mentalité de serviteurs. Ce dieu, c’est Vladimir Poutine.
« Nous, les Ukrainiens, nous n’avons pas de maître, c’est une grande différence », résume Marina Stepanska.
En 2014, l’Ukraine a mis à la porte un président pro-Moscou, mais n’a pas réussi à amorcer son entrée dans l’Union européenne – projet au cœur de la contestation.
Certains de ses amis russes l’ont raillée, à l’époque. « Alors, vous, les Ukrainiens, vous n’êtes pas joints à l’Union européenne. À quoi tout ça a donc servi ? », lui demandaient-ils.
« Je leur répondais : “Au moins, nous savons que nous pouvons prendre notre destin en main.” »
Contrairement aux amis russes de Marina Stepanska qui n’aiment pas Vladimir Poutine mais « croient qu’ils ne peuvent pas le combattre ».
« Je leur disais : “Mais si, vous pouvez. Vous n’avez qu’à être nombreux.” »
C’est le même message qu’elle leur a envoyé sur sa page Facebook, comme un coup de poing en plein visage. Ils n’ont pas répondu. Et depuis, Facebook a été bloqué par le Kremlin.

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* Agnès Gruda - La Presse (Aujourd’hui, dimanche 6 mars 2022)

 

Wednesday, January 19, 2022

Homme au Balcon ~ de Gustave Caillebotte

 

Homme au Balcon ~ de Gustave Caillebotte
 
Gustave Caillebotte: Homme au balcon, Boulevard Haussmann  -  1880


Gustave Caillebotte (1848 –1894) was a French painter, member of the impressionists although he painted in a more realistic manner than many other impressionists.
He is buried at Père Lachaise cemetery.
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~ source: https://www.facebook.com/afriendinparis/

 

Sunday, December 26, 2021

Sunday, December 19, 2021

Des grands publicitaires (genius admen)! ~ de TPO

 

Cat-head !

Des grands publicitaires (Genius Admen)!
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"Avec la pâtée casimir,
mon chien a le sourire !"

🤔 🙂 🤪 


 

Thursday, December 16, 2021

Le cheval ~ Louise de Vilmorin

 

 

La Vie montmartroise - Lautrec 1864-1901

Le cheval (1954)
~ Louise de Vilmorin ~
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J’aime porter de longs cheveux
Comme une femme,
J’aime porter un amoureux
Près de sa dame,
J’aime porter le poids fatal
Des inconnus,
J’aime porter le long du val
Les bienvenues.
J’aime la poudre du chemin
Sur mon visage,
J’aime le conseil de la main
Qui m’encourage.
Je fuis mon ombre de cheval
Courant la plaine,
Je crains mon reflet animal
Dans la fontaine.

 

Tuesday, September 28, 2021

La Société Inclusive ~ TPO

 

La Société Inclusive

 ~ TPO ~

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Monday, September 20, 2021

Elsa's Eyes ~ by Louis Aragon

 

Louis Aragon and Elsa Triolet - 1945 by Izis

Elsa's Eyes
by Louis Aragon (1897-1982)

  Your eyes are so deep that leaning down to drink
    I saw all suns mirrored in them
    All desperate souls hurled deathward from their brink
    Your eyes are so deep my memory is lost there

    In the shadow of birds the ocean roars
    Then suddenly the day clears and your eyes change
    Summer carves the clouds on the angels’ pinafore
    The sky’s never as blue as it is above grain

    In vain the winds pursue the azure’s griefs
    Your eyes are brighter, even through a veil of tears,
    And your eyes make the heavens jealous after a shower:
    Glass is never so blue as it is when it breaks

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Tes yeux sont si profonds qu'en me penchant pour boire
J'ai vu tous les soleils y venir se mirer
S'y jeter à mourir tous les désespérés
Tes yeux sont si profonds que j'y perds la mémoire

À l'ombre des oiseaux c'est l'océan troublé
Puis le beau temps soudain se lève et tes yeux changent
L'été taille la nue au tablier des anges
Le ciel n'est jamais bleu comme il l'est sur les blés

Les vents chassent en vain les chagrins de l'azur
Tes yeux plus clairs que lui lorsqu'une larme y luit
Tes yeux rendent jaloux le ciel d'après la pluie
Le verre n'est jamais si bleu qu'à sa brisure 

 

Wednesday, August 18, 2021

Excerpted from "The Life Before Us" by Romain Gary

 

Simone Signoret (1921-1985) as "Madame Rosa"

Excerpted from "The Life Before Us" by Romain Gary 

(pp. 155-156, and p. 162) 

<><><><><><><> 

  ....
     In the morning Dr.Katz came up to give Madame Rosa a check-up.  And as soon as it was over we went out on the landing and I knew that calamity was creeping up to our door.
     "She'll have to go to the hospital.  She can't stay here.  I'm going to call an ambulance."
     "What will they do to her at the hospital?"
     "They'll give her the proper care.  She may go on living for quite some time if not longer.  I've seen persons in her condition prolonged for years."
     Hell and damnation, I thought, but I didn't say anything in front of the doctor.  I hesitated a moment.  Then I asked:
     "Look, Doctor, just between Jews, couldn't you abortion her?"
     He seemed sincerely flabbergasted.
     "What?  Abortion her?  What are you talking about?"
     "That's right.  Abortion her.  To stop her suffering."
     Dr. Katz was so overcome he had to sit down.  He held his head in his hands and sighed several times in succession, raising his eyes to heaven as customary.
     "No, my little Momo.  We can't do that.  Euthanasia is absolutely forbidden by law.  We're living in a civilized country.  You don't know what you're talking about."
     "Oh yes, I do.  I'm an Algerian.  I know perfectly well what I'm talking about.  In Algeria they've got the sacred right of people to self-determination."
     Dr. Katz looked at me as if I'd scared him.  His mouth was wide open and he didn't say a word.  Sometimes I get good and sick of the way people refuse to understand.
     "Do you believe in the sacred right of peoples, or don't you?"
     "Of-course I believe in it," Said Dr. Katz.  He even got up from the step he was sitting on to show his respect.
     "Of-course I believe in it, it's a good and fine thing.  But I don't see the connection."
     "The connection is that if you believe in it you'll have to admit that Madame Rosa has the sacred right of peoples to self-determine herself just like everybody else.  If she wants to be abortioned, she has a perfect right.  And you should do it for her because it's got to be a Jewish doctor to steer clear of antisemitism.  Jews have no business making each other suffer.  It's disgusting."

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     "Momo, tell me the whole truth."
     "Madame Rosa, I don't know the whole truth.  I don't even know who knows it."
     "What did Dr. Katz tell you?"
     "He said we'd have to put you in the hospital and they'll take care of you and prevent you from dying.  You can live a long time yet."
     It made my heart ache to talk like that.  I even tried to smile as if it was good news I was telling her.
     "What do they call this sickness I have?"
     I swallowed my saliva.
     "It's not cancer.  Madame Rosa, I swear it isn't."
     "But what is it, Momo?  What do the doctors call it?"
     "You can live like that for years."
     "Like what?"
     I didn't answer.
     "Momo, don't lie to me.  I am an old Jewish woman.  Whatever can be done to a man has been done to me."
     She said mensch.  In Yiddish a man and a woman are the same.
     "I want to know.  Some things they have no right to do to a mensch."
     "It's nothing, Madame Rosa.  A person can perfectly well live like that."
     "Like what, Momo?"
     That was as much as I could stand.  The tears were choking me inside.  I ran over to her, she took me in her arms, and I shouted:
     "Like a vegetable, Madame Rosa, like a vegetable!  They want to make you live like a vegetable!"
     She didn't say anything.  She only perspired a little.
     "When are they coming to get me?"
     "I don't know.  In a day or two.  Dr. Katz is very fond of you, Madame Rosa.  He says he won't separate us unless he has to."
     "I won't go," said Madame Rosa.
     "I don't know what to do, Madame Rosa.  They're all such bastards.  They refuse to abortion you."
     She seemed very calm.  She only wanted to wash herself, because she'd pissed in her pants.
     She was beautiful, now that I think of it.  It depends on the way you think of a person.
     "It's the Gestapo," she said.
     She didn't say anything after that.
     I was cold during the night.  I got up and put another blanket over her.
....

 

Saturday, July 17, 2021

Que faire d'Eux ? ~ Kamel Daoud

 

Kamel Daoud

Que faire d'Eux ? 

~ de Kamel Daoud ~

 «Que faire d'Eux ?» : la grande question du nouveau siècle.
Mais que faire des islamistes ? Les tuer ? Les jeter à la mer ? Les ignorer jusqu'au moment où ils dépassent la démographie de la Chine ? Les rééduquer dans des camps du Sud ou en Suède ? Les surveiller de l'aube et jusqu'à la mort ? Les ficher ? Les convertir ? Les arrêter ou les torturer ? Les assimiler ou leur offrir un coin du désert où ils peuvent vivre leur délire sans gêner le reste de l'humanité ? On ne sait pas. Ils sont là. Dans le monde d'Allah et en Occident. Chacun y va de sa solution et de sa proposition. Les uns pensent qu'on peut les convaincre d'accepter l'Autre et les autres.

D'autres pensent qu'il faut les tuer. Certains disent qu'il faut éradiquer l'islamisme dans les écoles, les TV, les livres et les idées au lieu d'essayer d'éradiquer le produit final, alias l'islamiste. Certains essayent aussi de comprendre comment on devient islamiste. A cause du manque de désir de vivre ? Du manque de désir ? De loisirs ? De perspective ? D'argent ? A cause de l'Arabie Saoudite et ses fonds de propagande ?

La solution n'est pas encore trouvée: si on les tue, ils se multiplient. Si on les élit, ils détruisent les urnes, retirent l'échelle qui leur a permis de grimper, puis instaurent le califat et procèdent au jugement dernier puis pourchassent les démocrates et les pendent aux poteaux comme ont fait les ayatollahs.

Si on tente de les rééduquer, ils font semblant d'accepter, sourient puis attendent le moment de votre sommeil et de votre inattention. Le problème de fond étant que les islamistes ne veulent pas vivre leur croyance sans embêter l'humanité. Leur croyance suppose et impose que l'on change celle des autres. Leur but n'est pas de vivre leur foi mais de l'imposer aux autres, par la force ou l'attente rusée. Les islamistes ne peuvent pas être uniquement des musulmans mais croient qu'il faut que le monde entier le soit et à leur manière. D'où l'impossibilité de la solution.

«Que faire des islamistes ?» n'a pas encore de réponse satisfaisante. Mais la question inverse de «que faire du monde ?» que se posent les islamistes depuis qu'ils existent, en a une: lui mettre le front à terre. Le transformer en tapis de prière. L'obliger à abdiquer ou à mourir. Le combattre, le détruire, le convertir, lui couper la main ou le voiler. Eux, ils savent ce qu'ils doivent faire du monde là où nous ne savons pas ce que l'on doit faire d'eux.

Conclusion ? Le problème n'est pas que le monde ne les accepte pas, le problème est qu'ils sont incapables d'ACCEPTER le monde.

 

Tuesday, June 29, 2021

Ethiopia: Comical Conflict and Angst among the Youth ~ by TPO

 

Ethiopia: Comical Conflict and Angst among the Youth
L'éthiopie:  Le conflt et l'angoisse comique entre la jeunesse
(ጆኒ ምን እዳ ነው / አልማዝ ምን እዳ ነው)
💚 💛 ❤️ 

 

Saturday, June 19, 2021

Eva Green, Royauté véritable ! - by Hénock Gugsa

 

Eva Green, Royauté  véritable ! 

- by Hénock Gugsa -

Please click on the image to magnify !

Eva Green, French actress born 1980
A veritable royalty !

~ a ferocious princess 

(une féroce princesse)

~ a mad, evil queen !
(une folle méchante reine)
 

 

Monday, June 7, 2021

Coup de Gueule Forte ~ Delphine Seyrig

 

Delphine Seyrig (1932-1990)

Coup de Gueule Forte 

~ Delphine Seyrig ~

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Une femme de son temps! 🤔 👍 

... Féminisme avec réalisme et honnêteté ! ....

 Rarement une actrice n'a poussé un cri aussi violent et douloureux !